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18 juillet 2020

FAUT-IL PLUS D’ÉNERGIE, + DE QI ?

Un « petit » article pour aider à clarifier des notions autour de la pratique du Qi Gong tel que le QI (les souffles, l’énergie) et le JING (essence vitale).

Ainsi que les phénomènes (bizarres ^^) qui apparaissent lors de la pratique, vibrations internes, chaleur, froid, etc. Toutes ces petites choses sur lesquelles on n’a pas toujours d’info sur leurs significations.

J’évoquerai aussi certains troubles possibles tels que trop d’énergie dans le haut, trop d’excitation mentale-émotionnelle, trop de chaleur, maux de têtes, acouphènes, rétractions & raideurs musculaires, Etc. Il n’y a pas besoin de Qi Gong pour ce genres de phénomènes, mais parfois les activités que l’on fait peuvent amplifier ou faire apparaître ces troubles. Que ces activités soient mentales, sportives, énergétiques, Qi Gong, Yoga, etc.

Nous parlerons de la préparation adéquate à l’art du Qi Gong ainsi que son importance.En espérant que cela vous permettra une vision plus claire de ce qui est mis en mouvement en Qi Gong ou d’autres arts énergétiques.

Afin de questionner, remettre en lumière nos habitudes et permettre de cheminer vers une pratique plus saine, moins contrôlée, plus naturelle ; moins imaginée, plus spontanée et structurée.

POUR RAPPEL : juste mon expérience
Au-delà d’un simple avis, ce qui suit est mon expérience. Elle est élaborée par les différents chemins d’apprentissage parcourus, pour ainsi comparer par le vécu plutôt que par des projections mentales. Elle est également confirmée par le retour d’expérience d’autres professeurs plus expérimentés et du savoir transmis de génération en génération par la tradition. Sans oublier l’expérience obtenue par l’observation et le retour des élèves ou élèves d’autres enseignants.

Donc si des informations vous interpellent, ne m’en voulez pas, ce n’est pas dramatique. 🙂 Je crois que personne n’a raison sur qui que ce soit, tout simplement car :

« Il n’y a pas de raisons, que des interactions. »

Autant se relâcher. Questionner à l’intérieur, questionner nos enseignants respectifs (en étant cool avec eux), et pratiquer pour connaître.

L’art est subtil, il n’est jamais facile pour un enseignant d’avoir une vue globale. Même si mon expérience s’appuie sur un quotidien de 12 ans d’entraînement et de recherche intensive, il me reste beaucoup à explorer. 🙂

Il n’est jamais évident pour un enseignant de retourner à l’essence de l’art. Pour ceux qui en font le chemin cela nous demande une grande énergie dans la constance. Pour remettre en question nos certitudes et continuer à installer les qualités de la pratique dans notre Corps. En concordance et en reconnaissance de ceux qui nous facilitent le chemin par leurs transmissions.

LE QIGONG

Qi Gong, l’art des Souffles. Ou plutôt, la qualité des Souffles. Ne désigne pas qu’une discipline, une gym, un art, mais plutôt la qualité atteinte à mesure de la pratique. Nous obtenons un meilleur Qi Gong, une meilleure qualité passive de nos Souffles. Même lorsque l’on ne fait rien, une qualité stabilisée car incarnée, toujours présente au quotidien.

Le même Gong que dans Kung Fu / Gong Fu, qui représente l’accomplissement de l’être. Wushu est le terme correct pour désigner les arts martiaux.

FAUT-IL FAIRE DU QIGONG POUR ÊTRE EN BONNE SANTÉ ?

Vous pouvez remplacer Qi Gong par : faut-il faire du Yoga, des séances de Kiné, nager, etc. pour être en bonne santé ? Non pas vraiment. Évidemment cela pourra y contribuer et améliorer votre vitalité.

Il me semble bon de rappeler que derrière le terme générique de Qi Gong se pratique des choses très différentes. De la gym « douce » plus ou moins enseignée avec respect de l’anatomie en mouvement ; des pratiques énergétiques plus ou moins équilibrés, saines ou farfelus. Parfois du Qi Gong qui tient plus du sport, ou de l’alchimie, ou la méditation…

Personnellement, je crois que la part la plus importante n’est pas dans ces petits moments consacrés à des activités que nous FAISONS, mais dans tous les autres moments du quotidien où nous VIVONS. Style de vie, habitudes d’être, habitudes de pensées, habitudes alimentaires…

Nourriture alimentaire certes, mais surtout au sens très large : quels sont les sons, les images, les activités qui nourrissent notre être ? … De quoi nous bâtissons-nous ?

Ne sous-estimez pas ces apports, le mental peut certes minimiser, mais le Corps lui, il prends.

Vos pratiques consistent elles à vous donner plus d’énergie pour continuer à vivre ce qui n’est pas vous ?
 

Une dysharmonie dans notre quotidien, donc pouf je fais une heure de ceci pour équilibrer. Cela est mieux que rien certes, mais la démarche de penser ainsi nos actions nous est elle si bénéfique ?

Une solution ponctuelle ne pourra jamais être une solution pérenne. Au mieux une aide pour épauler les changement mis en œuvre à notre rythme… Ou pour le dire en rime :

Nous cherchons une activité « pansement » pour continuer à nous déglinguer plus longtemps dans nos quotidiens ? Ou pour épauler les changements vers un quotidien plus sain ? 🙂

Vous voyez cette distinction est un des points les plus primordiaux, à mes yeux, pour la pratique des arts corporels-énergétiques-spirituels.

EST-CE QU’ON PRATIQUE LE QIGONG OU ART SIMILAIRE POUR AVOIR + DE QI ?

Oui et non.

C’est un des pièges des arts énergétique : envoyer plus d’énergie dans un corps déjà tendu & stressé peut se révéler contre-productif, voire même dangereux. Cela peut augmenter le stress, amplifier les dysharmonies déjà présentes et les troubles qui y sont liés.

« Avoir + d’énergie » + de QI, comme on dit, ne fait référence qu’à une partie du puzzle. C’est souvent trompeur. En général cela fait référence à l’aspect Yang de l’énergie, très active, système nerveux stimulé donc dynamisé comme un bon café. On oublie le Sang, l’aspect Yin du QI, ainsi que le JING (l’essence vitale)…

Cette énergie Yang, qui dynamise, est très lié au système nerveux, majoritairement habitué aux comportements type fuir & combattre.

Des mesures de sécurité existent dans toute tradition, elles ont été mises en place afin d’éviter tout problème lors de l’apprentissage. Elles demandent une vision très large du système enseigné et de prendre en compte l’ensemble de l’équation.

Ces sécurités ne sont jamais des tours de passe-passe imaginatifs (astuces pour s’ancrer, bulles pour se protéger etc.) mais des qualité incarnées. Souvent incorporées dans la pédagogie globale, on ne les distingue pas souvent aisément et elles sont rarement spécifiées dans l’apprentissage. Un enseignant lui doit être capable de les distinguer très clairement et de les expliquer.

Les systèmes modernes ou pseudo-traditionnels bricolés par quelques personnes ne contiennent généralement rien de cela. À trop adapter, mixer et simplifier, sans connaissance du tout, on finit par créer des problèmes. 🙂

Mettre en mouvement le Qi disponible dans le corps (en plus généralement avec contrôle et trop d’intention), cela sans aucune (ou trop peu ou non adéquate ou trop superficielle) préparation du corps. C’est à dire sans transformer le corps pour avoir un physique apte à la pratique. (Un corps de nageur n’est pas le même qu’un corps d’alpiniste…) Cela revient à injecter plus d’énergie, plus d’eau dans des tuyaux emmêlés et percés à plusieurs endroits.

Résultat, système nerveux surchargé, trop d’énergie qui monte à la tête et au coeur, des centres énergétiques déjà de base surchargés.
 

Cela stressera, épuisera d’autant plus les Reins et petit à petit brulera le Yin, nos réserves, notre vitalité (JING), et donc notre capacité à être en bonne santé.

Cela augmente aussi les troubles ou en font apparaitre, maux de tête, insomnies, acouphènes, vertiges, flash de lumières, d’images, voix, etc. Il n’y a plus assez d’ancrage (garantit en bonne partie par la vitalité, le JING).

J’aurais tendance dire que c’est plus flagrant chez les enseignants d’arts énergétiques vus qu’ils pratiquent plus souvent que leurs élèves. Mais chez les sportifs intensifs, on peut aussi retrouver des symptômes similaires ou simplement avec le surmenage.

Parfois de super sensations ou « pouvoirs » peuvent apparaître, ils résultent de cette surcharge du système nerveux, de dépression parfois aussi, d’une perte de contact avec les fréquences énergétiques plus denses (le corps et sa vitalité, le JING). On perds pied.

La sphère mentale-émotionnelle n’ayant pas été assainie en amont, le système nerveux étant hyperactif, la moindre expérience sensitive se trouve encore plus teintée/déformée par le mental et la personnalité acquise (l’ego). Un cocktail parfait pour basculer vers l’hyper-sensibilité énergétique.

La spiritualité est stabilité.

C’est loin d’être la même chose.

Un peu plus loin dans le texte nous aurons l’occasion d’y revenir.

PS : faites des pauses dans le texte, ne vous grillez pas des neurones par ma faute. 🙂

QUELQUES DÉFINITIONS

Le QI : les souffles, mouvements, transformations, a une qualité informationnelle. D’où le fait de capter des informations extérieures lorsque nous sommes trop sensibles à cette « fréquence radio », ne réussissant plus à se focaliser sur une autre fréquence radio comme celle du physique par exemple. Cela surcharge nos sens et fatigue…

Le JING ! C’est l’essence vitale, l’huile dans la lampe, l’ensemble des processus vitaux. Il est composé du JING INNÉ donné à la naissance et qui s’épuise à mesure de vivre, du JING ACQUIS par la nourriture/respiration/repos.

Pourquoi est-il primordial de connaître le JING pour la pratique du Qi Gong ?

Car on ne peut pas mobiliser sans arrêt son QI sans JING. Cela vaut aussi en dehors des pratiques énergétiques. Si vous êtes tout le temps dans le mouvement, même si cela dynamise ponctuellement, vous épuisez votre vitalité sans vous en rendre compte.

Parfois la pratique du Qi Gong peut fatiguer. Soit le relâchement libère la sensation de fatigue que l’on bloquait. Soit nous avons besoin de recharger la batterie avant de remobiliser notre énergie à tout va.

Le JING est beaucoup lié au système dont fait partie les reins (se rappeler aussi la relation des glandes surrénales avec le stress…)

De quoi vous nourrissez-vous ? Vos nourritures sont généralement stressantes ?

La santé des Reins ? Qu’est-ce qui les blesse ?

  • Les laisser sous stress mental-émotionnel trop longtemps. Trop de fuir & combattre.
  • Trop/pas assez d’activités. Dans quel état d’épuisement ou dormant est le corps ?
  • Trop de manipulations énergétiques, avec contrôle, intentions, imaginations.
  • Trop de stimulations sexuelles, physiques ou même mentales (images)
  • S’opposer à son chemin de vie.
    etc.

Quelles conséquences ? Par exemple une prédisposition à des problèmes aux genoux, lombalgies, mémoire déficiente, problèmes auditifs, besoin fréquent d’uriner, acouphènes, anxiété, crises de paniques (Il n’y a plus « d’eau » pour tempérer le « feu » du cœur…), souffle court, etc.

Que faire ? Regarder avec compassion notre mode de vie et nos habitudes du quotidien. Se reposer, respirer…
 

Si les Reins sont épuisés, mobiliser le Qi fatiguera d’autant plus. Cela vaut aussi pour aller faire un footing. Même si cela dynamise sur le moment. Si en permanence on ne voit qu’un bout de l’équation, on finit en burn out…

QUE FAUT-IL FAIRE ?

Justement peut-être qu’il ne faut pas faire. Plutôt commencer à ôter les couches que de toujours chercher à compenser.

Prenez la métaphores des aliments de mauvaise qualité, pour pallier à un aspect peu agréable ou une texture non satisfaisante, les industriels y ajoutent un autre produit de basse qualité, pour compenser. Cet autre produit entraine parfois un autre problème donc il faut en ajouter un autre pour compenser encore. Et on finit avec une chimère qui n’a rien de fabuleux pour notre santé.

Ensuite vient les trois fondements :

HARMONISER LE CORPS / HARMONISER LA RESPIRATION

HARMONISER LE MENTAL-ÉMOTIONNEL

Le SONG GONG (prononcer « Soune » et Gong comme Qi Gong). La qualité de relâchement qui apparait à mesure de certaines pratiques dont l’écoute de la respiration.
Elle fait partie des fondations primordiales à bâtir dans le corps pour une pratique saine, plus proche du naturel, et surtout, en sécurité.

Il s’agit de libération des tensions, non pas d’un simple relâchement passager ou de finir mou comme un spaghetti trop cuit. Al dente voilà se qu’on recherche : l’élasticité. Trop de relâchement, de mollesse finirait par affaiblir le corps, le QI ne pourrait plus se mobiliser.

L’écoute de la respiration est une pratique transformatrice du Corps. Elle contribue à préparer le corps & l’esprit en lui apportant l’harmonie nécessaire. Nous permettant d’être ancré (sans avoir à faire), de mobiliser notre Qi sans s’épuiser, ni se disperser, ni brûler. Elle prépare le système nerveux.

La vrai respiration abdominale est un ancrage, une mesure de sécurité pour permettre à l’énergie de redescendre. Pour désengorger nos centres émotionnels & mentaux. Pour pouvoir s’élever sans s’envoler, ni se perdre dans les cieux.

Même si FAIRE des respirations abdominales fait beaucoup de bien. Ce n’est pas ce dont je parle ici.

« Vider le cœur (et la tête), Remplir le ventre »
comme dirait Lao Tseu

Un vide permettant d’accueillir, de clarifier, de rayonner, d’être.

Pour ces raisons j’ai choisi de beaucoup (pratiquer) et enseigner cet aspect de libération des tensions. Le SONG GONG permet au système nerveux une bonne connexion, car non comprimé par les muscles. Afin ne pas se trouver surchargé/bloqué à mesure qu’il devient plus activé et performant grâce à la pratique.

LES SENSATIONS ÉNERGÉTIQUES

Il est normal pendant la pratique de commencer à ressentir et à conscientiser divers phénomènes « tactiles », différentes sensations. C’est la manière pour le corps de traduire ce qui se passe énergétiquement.

Il y en a 8, ils sont connus sous le terme de Ba Chu : Chaud, froid, légèreté, lourdeur (attraction vers le sol), excitation, tremblement resserrement des tissus, ouverture/relâchement des tissus. Chacun d’entre eux à une signification.

Lorsqu’ils apparaissent parlez en à votre enseignant, au cas où. Il pourra (ou pas) vous expliquer, vous rassurer, car en général c’est anodin, et vous conseiller, vous indiquer où vous en êtes.

Ces manifestations sont passagères. Si elles s’installent, parlez-en, car il y a quelque chose à aiguiller. Par exemple : ne pas se sur-attacher à ces manifestations (ou à tous autres manifestations), ce n’est pas la pratique, ce n’est pas un signe d’accomplissement à rechercher ou à essayer de renouveler. Comme le fait de chercher la chaleur à chaque fois sous prétexte que ce soit agréable.

Parfois d’autres sensations particulières peuvent apparaître et sembler assez incroyable. Néanmoins toute sensation a tendance à se normaliser. Si une sensation reste très forte, presque tout le temps, il manque certains fondements à la pratique.

Pour imager : entendre battre son cœur c’est chouette, l’entendre battre à tue tête 24h/24 cela deviendrait gênant.

LES DISHARMONIES ÉNERGÉTIQUES

Notre présence et donc notre énergie vont en général davantage vers la tête et le cœur que dans le bas-ventre.

Nous avons plus de facilité à faire monter de l’énergie dans la colonne, à nous stimuler, qu’à laisser redescendre, vers le bas, vers l’intérieur, afin d’infuser toutes les couches de notre corps.

De base, nos habitudes vont dans le fuir & combattre. C’est normal, nous y sommes tous à différents niveaux. C’est notre point de départ et la pratique du Qi Gong transforme cela.

Mais… si nous sommes trop dans le fuir & combattre, à réagir de manière stressante à notre quotidien, avec un corps épuisé (qu’on le sente épuisé ou non), cela va être contre-productif vis à vis de l’énergétique. D’où l’importance d’assainir le quotidien si l’on veut aller dans la profondeur de l’art, ou juste pour être bien. ^_^

Plus le système nerveux est stimulé plus il contracte, plus il verrouille, plus ça stagne, plus il amplifie différents symptômes. Cela peut amener acouphènes, maux de têtes, chaleurs, rétractions & raideurs musculaires, etc.

Lors des pleines lunes, il y a encore plus de Qi et de Sang vers le haut du corps. Naturellement, cela va augmenter les contrastes en quelque sorte, et révéler de manière plus flagrante différents troubles. Davantage de jus dans le système, plus de réaction, tout simplement. Ce n’est pas notre faute, c’est physiologique !

Nous avons néanmoins la responsabilité de prendre soin de notre physiologie si nous voulons savourer pleinement la beauté de la vie.

CONCLUSION

Voilà, ces quelques pistes qui reviennent toujours mettre en lumière l’importance de l’anodin, de notre quotidien, sur le spectaculaire de nos activités ponctuelles.

On ne peut pas pratiquer n’importe quoi, n’importe comment, sous prétexte de créativité. N’oubliez pas qu’il existe une physiologie de l’énergétique. Nous ne choisissons pas que le ciel soit bleu, pourtant il l’est.

J’ai conscience que dans ce que j’ai écrit ici, il y a évidemment beaucoup qui pourrait être nuancé suivant la réalité des contextes. Beaucoup qui pourrait être précisé. Mais cela nécessiterait d’écrire plusieurs livres !

Prenez le temps de relire, il y a des phrases qui ne sont pas placées au hasard. Comme :

BOUGER POUR ÊTRE EN BONNE SANTÉ ?
S’ANIMER POUR CULTIVER SA VITALITÉ.

LES PRATIQUES NE FONT PAS LA PRATIQUE, ILS NE SONT QUE DES OUTILS, LE FUEL POUR PERMETTRE & FACILITER LA TRANSFORMATION DE NOTRE VIE.

SE TRANSFORMER = DÉLIER NOS SCHÉMAS.
Guérir des dissociations.

2 Comments on “FAUT-IL PLUS D’ÉNERGIE, + DE QI ?

Nathalie Forterre
18 juillet 2020 chez 8 h 19 min

Hello Max

merci pour tes précieux éclaircissements : je me reconnais très bien dans toutes les erreurs du sur investissement ou de la sur enchère du bouger pour aller mieux et au final se retrouver au tapis 🙁
Se mettre en mode économique : c’est très compliqué à accepter pour moi …. surtout quand on est accro à l’adrénaline de la course à pied 🙁
Merci pour tes écrits qui guident et tes cours de Qi Gong : je reviens à la rentrée ☀️✅

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Maximilien
18 juillet 2020 chez 8 h 58 min

Merci Nathalie. Mentalement c’est en effet difficile à accepter car nos choix sont fait pour nous aider. On se confond en pensant que les remettre en question revient à remettre en question l’attention qu’on s’est porté. Par l’expérience d’ajuster son quotidien, d’investir du coté des pratiques nourricières, cela permet de retrouver l’activité sans en être abimé. D’une certaine manière nous sommes même davantage actif car nous le sommes dans la constance. 🙂

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